Bio

Ancien journaliste , vrai-faux fils de Jean Ferrat, ( d'où un traumatisme identitaire uniquement soluble dans la chanson rock & roll), auteur/compositeur/interprète, il mène sa barque à la tête d'un combo qu'il emmène dans tout ce que l'hexagone compte comme cafés-concerts, salles ou festivals. " Sa" Marquise est repérée par les scènes rock/chansons les plus prestigieuses (Printemps de Bourges, Sentier des Halles, Dock des Sud, Festival de la Chanson Française du Pays d'Aix,etc...).


Des centaines de concerts où il sert une chanson singulière. Souvent satirique, ironique, faussement légère. Sa "petite entreprise" c'est La Marquise ! Pour laquelle il créé son propre label (Music'O'Fil) et n'hésite pas à aller au charbon sur différents fronts : La production, la diffusion, la com etc... Bref en matière d'auto-production il en connaît un bout depuis belle lurette. Une démarche aujourd'hui assumé comme véritable philosophie. Comme projet de vie !

Armée de son piano à bretelles, c'est la petite dernière de La Marquise, et ne croyez pas qu'elle brasse du vent ! Initiée à l'instrument avant même de savoir lire, l'accordéon est un second poumon pour elle, un moyen d'expression indispensable à son équilibre. 


Un apprentissage rigoureux la conduit au Conservatoire avant de faire la rencontre, à l’âge de 16 ans, de Frédéric Deschamps, concertiste international, son mentor. C’est le temps des premiers concours internationaux, des enregistrements studio et télévisuels. De formation plutôt traditionnelle, Elsa aime à explorer tous les styles, plus particulièrement autour du jazz manouche ; il faut que ça swingue ! Loin du cliché ringard, elle apporte à la "petite entreprise" de la marquise un aspect festif qui va faire bouger les foules !

Lui au sein de la "Petite entreprise" Marquisienne, c'est le responsable des "basses opérations". Un héritage que cet enfant des quartiers populaires de Marseille doit peut-être à ses origines siciliennes ! D'abord chargé de la basse électrique à son arrivée dans le groupe, il passe ensuite à la contrebasse où il revisite les morceaux avec brio ! Passant d'un "walking" puissant sur la chanson Paris-Marseille à un chorus déjanté à l'archet sur "La république".


La contrebasse a des ressources infinies et il ne cesse de les exploiter. Mais Ritchie a plus que 4 cordes à son instrument ! Non content d'officier comme un diable sein de la rythmique (basse/batterie), il assure les choeurs sans état d'âme. Et lorsqu'il pose la contrebasse ce n'est pas pour le farniente ! il attrape une percussion ou se met à la guitare et attaque une ballade. Un appétit musical qu'il doit sans aucun doute à la richesse de sa formation musical : du funk au jazz en passant par le tzigane et le reggae !

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